Julia Kowalski est à Cannes, dans al sélection de la Quinzaine des Réalisateurs, avec son dernier film ” Que Ma Volonté Soit Faite“, un conte sombre et surnaturel sur le désir et la difficulté de l’admettre. Le film existentiel rencontre le genre horror, dans une oeuvre fascinante dont on a parlé avec le réalisatrice hors de la présentation en première mondiale au festival.
Les références sont Friedkin et Argento, mais sans les refaire
Julia Kowalski nous confesse son admiration pour Friedkin et Argento, dont elle s’est inspirée pour créer “Que Ma Volonté soit Faite“. Mais elle n’a pas voulu faire un film “à la façon de”, elle a trasporté ces inspirations dans son propre monde en créant son style.
La vie rurale comme limite pour la croissance du personnage
Dans “ Que Ma Volonté Soit Faite” la vie rurale de Nawa et de sa famille sont une limite pour la liberté du personnage. Julia Kowalski mous dit d’avoir vu beaucoup de situations pareilles de vie rurale rigide et familiale dont elle a transporté l’essence sur l’écran. Une ambiance où le mystère de surnaturel peut se montrer de façon surprenante.
Plot
Nawojka, 20 ans, rêve de fuir sa vie difficile dans la ferme familiale. Sous l'influence de Sandra, une jeune femme libre d'esprit, Naw vit des épisodes de transe et découvre d'étranges pouvoirs, tout comme sa mère décédée avant elle...