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“Conversation with” at the 20th Marrakech IFF, interview with actor Willem Dafoe Bénédicte Prot
PODCAST | Bénédicte Prot avec Arnaud Desplechin, réalisateur de Roubaix, une lumière.
Pour écouter l’entretien, cliquer sur l’icône ► sur la droite, juste au-dessus de la photo
Le cinéaste français Arnaud Desplechin, de retour en compétition à Cannes pour la sixième fois, nous parle de la quête de vérité de l’inspecteur Daoud (Roschdy Zem) dans ce film noir, alors qu’il est confronté à une multitude de récits, de la raison pour laquelle il a voulu se concentrer sur un fait divers en particulier – une affaire, terrible mais humaine, dans une mosaïque d’enquêtes de police -, de la construction du scénario, du réel, de son envie de faire un film d’acteurs autour d’un vrai héros, de Roubaix, sa ville.
Roubaix, une lumière: Roubaix, une nuit de Noël. Le commissaire Daoud sillonne la ville qui l’a vu grandir. Voitures brûlées, altercations… Au commissariat, vient d’arriver Louis Coterelle, fraîchement diplômé. Daoud et Louis vont faire face au meurtre d’une vieille dame. Deux jeunes femmes sont interrogées, Claude et Marie. Démunies, alcooliques, amoureuses. Avec : Roschdy Zem, Léa Seydoux, Sara Forestier, Antoine Reinartz Scénario : Arnaud Desplechin et Léa Mysius. Sortie en France le 21 août.
"Bolero", le dernier film de Anne Fontaine été présenté au Milano Film Festival, hors compétition. La biographie d'une des oeuvres musicales plus connues au monde et le conte du procès de création plus compliqué pour Maurice Ravel, une histoire pas …
"Les Arènes" de Camille Perton, en compétition au Milano Film Fest, est un film sur le football, sur l'innocence perdue et aussi sur l'argent et le pouvoir qui commandent les vies des jeunes promesses du foot, considérés des objects économiques …
Maria Cavalier Bazan et Gladys Lefeuvre, du film "Aimer Perdre" des frères Guit, au Milano Film Fest, nous ont parlé de l'expérience magnifique du tournage, et du personnage intense et heureusement désespérée de Armande ( joué par Bazan), dont la …
Anna Cazenave Cambet, réalisatrice de "Love Me Tender": "Il y a une obsession sur les personnages féminins : ils devraient absolument susciter de l’empathie. C’est un procès qu’on ne fait pas aux personnages masculins".
